dimanche 25 avril 2010



MASSE PARTICULES



Et si la masse n’était qu’une illusion ?
Et si la masse de toute particule n’existait pas ?
Si c’était seulement le facteur rotatif qui déterminait la masse ?

En se basant sur l’hypothèse que nous n’ayons pas encore découvert et perçu que les particules seraient composées de deux hémisphères (nord et sud) en rotations permanentes et de sens inverse, mais aussi doté d’une oscillation horizontale extrêmement rapide comparable à une sorte de vibration imperceptible.

La notion de masse nous semble logique.
La masse est déterministe à priori.
Plus il y a d’éléments, plus la masse augmente… théoriquement.

En fait selon les dernières informations reçues, au sujet de la composition particulaire et de leurs bi-rotations, je me suis posée la question si la masse existait réellement ou si c’était simplement une illusion énergétique ?

Cela peut paraître bizarre comme question car la masse de tout corps semble évidente.

Et pourtant la densité aussi nous paraissait évidente… et il en est tout autrement. En étudiant l’infiniment petit nous nous sommes aperçu que la matière, si dense soit-elle, n’est en fait constituer de quasiment que du « vide ». 99,99% de vide pour 0.01% de matière.
Seule la rotation des électrons autour de leur noyau donnait cette illusion de densité.
Tout n’était qu’énergie et rotations.

Ainsi en supposant qu’une particule a une bi-rotation et une oscillation en même temps, cette bi-rotation serait déterminante pour la masse de chaque particule.

Plus la rotation est importante, plus la masse diminue ou augmente, car la pression exercée sur la particule est accentuée ou diminuée (effet centripète ou centrifuge).

Il y aurait une différence fondamentale entre les groupes de particules (fermions-leptons-bosons) en fonction de leurs bi-rotations dans le sens horaire ou anti-horaire.

La rotation des deux hémisphères serait aussi déterminante pour la charge des particules.

Une particule neutre aurait une rotation équivalente des deux hémisphères.
Une particule chargée positivement aurait une rotation de l’hémisphère nord plus rapide.
Une particule chargée négativement aurait une rotation de l’hémisphère sud plus rapide.
Une particule dite « sans masse » aurait une bi-rotation extrêmement importante (rapide) et en sens anti-horaire.

En se basant sur cette théorie, plus besoin de boson de Higgs pour obtenir une masse et on apporte une relation entre l’interaction forte et l’interaction faible qui semblait jusqu’à présent si différente et sans corrélation.

L’interaction forte peut être décrite par les bi-rotations hémisphériques centripètes qui exercent une pression sur leur centre.
Ainsi plus on essaye d’éloigner les quarks plus leurs masses (donc leurs énergies) augmentent, système d’élastique, Interaction forte.

Les leptons quant à eux, ont également une bi-rotation hémisphérique centripète, mais comme la rotation de leur hémisphère nord est différente de celle de leur hémisphère sud, il est plus aisé de les séparer car l’équilibre des rotations n’est pas parfaitement stable comme pour les quarks.

Les bosons, eux, ont une bi-rotation hémisphérique centrifuge ; soit de même vitesse entre les hémisphères nord et sud ce qui impliquerait aucune masse (photon), soit d’une vitesse différente entre leur deux hémisphères ce qui impliquerait une masse (bosons W et Z).


Les bosons et les fermions sont ainsi réciproquement leur anti-particule.


En rencontrant leur double exacte mais avec une rotation bi-hémisphérique opposée, ils s’annihilent.

Beaucoup de questions et de problèmes en physique (quantique ou astrophysique) sont liés à la masse des particules.

Comme la diminution ou l’augmentation de masse (recherche du boson de Higgs) ou encore la masse manquante de l’univers (+90%).

En fait l’augmentation de la masse (en acceptant le principe bi-rotatif et hémisphérique des particules) ne serait pas dû à une charge supplémentaire (comme les bosons de Higgs) mais à une augmentation de la vitesse bi-rotationnelle, ce qui amplifierait le facteur m et par conséquence alourdirait la particule.

C’est toute la différence et l’illusion de la masse.

C’est aussi pour cela que l’on perçoit autant de différences entre les lois qui régissent le macroscopique et celles du microscopique.

La dualité : onde/corpuscule chez le photon pourrait être seulement représentée par ce changement de vitesse rotative.
Plus un photon « tourne » vite plus il semble dense, apparenté à un corps. Tout en ayant une masse nulle.
Moins un photon « tourne » vite moins il semble dense mais serait comparable à une fréquence, on le percevrait sous forme d’onde. Tout en ayant une masse nulle.
Le dualité onde/corpuscule serait juste induite par la vitesse rotative des hémisphères, en fonction de leurs vitesses nous percevons le photon de manière différente. Mais sa structure ne change pas ! il n’y a alors plus de dualité.

Il pourrait également y avoir des corrélations avec la compréhension de :


- La supersymétrie (annihilation entre fermions et bosons)
- La fusion froide (par l’explication d’un changement de fréquences, donc de rotation permettant cette fusion, effet tunnel expliqué par ces bi-rotations?).
- L’axion (qui serait une fréquence particulière que pourrait prendre le photon en présence d’un champ magnétique).
- La force G de la pesanteur (en agissant sur le facteur v de vitesse cela interagirait sur le facteur m, en augmentant les bi-rotations donc en augmentant la masse de la particule).
- L’énergie noire (73% de l’univers)
- La matière noire (23% de l’univers) des Wimps.
- L’indéterminisme de la physique quantique (en se rendant compte de l’état vibratoire et rotatif instable de chaque particule. La prise de mesure altérerait instantanément l’ordre fragile. La mesure forcerait à stabiliser le système en choisissant une position déterministe.)
- L’excentricité des noyaux exotiques.
- Et même sur les théories holographiques ! Un hologramme n’ayant pas de masse…

Il y a surement d’autres champs d’actions en physique quantique, nucléaire ou astrophysique que je ne connais pas...
C’est peut-être pour cela que l’on trouve autant de paradoxes ?

En tout cas, il y a une force qui est sûrement en interaction avec l’ordre de rotation des deux hémisphères des particules : c’est l’électromagnétisme.
L’électromagnétisme pourrait être un facteur de modification de ces bi-rotations, reste à découvrir comment ?
Il ne manque plus que la gravité pour clôturer le tout et la cerise sera apportée sur le gâteau
J. (Ce qui n’est pas improbable.)

Le fait que la masse de toute particule soit induite par les bi-rotations de ses hémisphères ouvre la porte d’une nouvelle compréhension dans beaucoup de domaines.
Il faut pour cela, bien évidemment accepter et adhérer à cette nouvelle configuration particulaire (vibration + bi-rotations).
Et adhérer à ce que la masse puisse n’être qu’un facteur et non un fait déterministe.
Cela change considérablement notre vision du microscopique.

Maintenant il va falloir trouver une solution pour pouvoir démontrer scientifiquement et par les preuves l’existence de ces bi-rotations.
Si cela est possible… comment ?

Lumières... étranges photons.





I FREQUENCE LUMIERE




- Tout ce qui est dans ce monde n’est que de la lumière manifestée.

- La lumière vibre, quant on découvrira cela ce sera l’une de nos plus grandes avancées!

- Ce sont les différentes fréquences que la lumière peut prendre qui permet à chaque chose d’exister.

- C’est la fréquence qui détermine la composition de chaque particule.

- En modelant la fréquence de la lumière on pourra modeler la fréquence des particules et par conséquence de la matière.

- La lumière permet la vie, elle est le véhicule et la forme que prends chaque conscience.

- La lumière est conscience.

- Et la conscience est lumière.

L’une et l’autre interagissent en permanence. La matière tangible n’est que la conséquence de cette interaction.

- Le plus grand outil qui est à notre disposition est notre cerveau, il est un fabuleux émetteur-récepteur de champs de fréquences. Il modèle par conséquence tout son environnement. Il interagit en permanence sur la matière à notre insu.

A notre insu… tout simplement parce que nous n'en avons pas conscience !

Prenez conscience de cette capacité.

Nous avons la capacité de créer la matière nous environnant car chaque particule raisonne profondément avec son environnement, donc avec les cerveaux qui y sont les plus proches.
Et ces dit-cerveaux « transforment » en permanence la réalité, change son cours.

Tout bouge !

Et l'on fait bouger ce Tout.
En prendre conscience est la première étape d’un long parcours initiatique.




II CONSCIENCE PARTICULAIRE



Chaque particule vibre en son sein, c’est ce que l'on peut appeler la théorie des cordes. Tout vibre, tout n’est que vibrations.

Il ne s’agit pas en réalité de corde… mais peu importe, le principal soit que nos scientifiques y associes déjà cela a des formes de cordes.

La lumière est conscience.
Et la conscience est lumière.
L’un ne va pas sans l’autre.

Chaque particule de matière est capable en son sein d’émettre un rayonnement lumineux. Ce dit photon évacué a lui aussi une vibration particulière.

C’est de cela que j’aimerais parler.
Sa fonction est toute particulière, car ces interactions on lieu en permanence tout autour de vous ; si petites soit-elles.
C’est la forme de vibration que procure le déplacement du photon lors de son émission + la vibration elle-même de ce dit-photon qui crée tout autour de son champs d’action un déplacement énergétique qui engendre une modification profonde de la matière.
C’est ainsi que tout bouge.

Quand je me permet de dire que tout est conscience, c’est simplement que sans conscience rien n’existe dans l’univers.

Conscience ne veut pas forcément dire mental ou réflexions.

Conscience veut dire capacité à concevoir son existence et son rôle, si minime soit-il.

Sans conscience pas d’existence.
Sans conscience il y a désintégration littérale de chaque structure de base.

Les trous noirs sont par excellences des endroits où chaque conscience s’arrête d’exister.
Donc chaque particule se désintègre et cesse son existence.

Il y a des champs de force qui permettent de désactiver les consciences, donc les activités et le but « grégaire » de toute chose: exister.

Si l’on parle purement et simplement de Dieu, c’est dans les trous noirs que « Dieu » déprogramme les consciences de chaque particule. Elles se « volatillent » car elles cessent d’exister. Elles sont compactées les unes aux autres de façon si intense qu’elles ne font qu’une. Les trous noirs ne pourront jamais émettre de la lumière car la lumière est conscience.

C’est ça le néant, c’est la non-conscience.

Cela peut vous paraitre un peu déroutant qu’il n’y ait pas de lumière sans conscience, et surtout que chaque particule puisse avoir cette forme de conscience que Nous seul croyons détenir.

Dans le monde microscopique des particules chaque éléments à sa place et son rôle, il n’y a rien de chaotique comme nous pouvons le concevoir.

Une ruche avec 300 abeilles peut paraitre à prime abord chaotique, mais de plus près tout est méticuleusement dirigé et coordonnée.




III COMPOSITION PARTICULAIRE



Chaque particule abrite en son sein une multitude de vibrations que l’on nommera dimensions.
En tout 6.

- La première étant une sorte de dimension « cœur » abritant le siège de la conscience particulaire. Elle donne le tempo et le rythme à toutes les autres.

- La seconde est une dimension « porte » reliant toute chose existante entre elles. C’est la porte et le lien au Tout. Une forme d’inconscient collectif. C’est le dénominateur commun à chaque conscience dans l’univers.

- Le troisième est une dimension un peu égale à la seconde, seulement sont reliment se fait avec tout son environnement proche. Un peu comme les 5 sens des êtres humains.
La portée des 5 sens est limitée à une certaine portée. Il en est ainsi pour les particules. La longueur de communication de cette dimension est limitée.

- La quatrième est une dimension de stockage de données. C’est un peu l’ADN de la particule. Sa carte de fréquences de base.

- Le cinquième est une dimension d’accès à la quatrième, une sorte de porte d’accès aux données de base. C’est par la cinquième dimension que l’on peut reformater les vibrations d’une particule.

- La sixième dimension donne l’accès à la première. C’est par elle qu’est permis la désactivation de la conscience particulaire, donc la cessation de son activité, sa mort.
C’est par cette sixième dimension que l’attraction des trous noirs désactivent la conscience de toute particule qui cessera d’exister instantanément.

Toutes ces dimensions sont intrinsèques aux particules donc à la matière, à toute chose.

La vibration de chaque particule est dictée par le « cœur » de ces dimensions.

Tout vibre, et c’est grâce à ces vibrations que l’on peut avoir accès à l’infini.







IV VACUITE PARTICULAIRE



Quelle question !...
Bien sur que chaque particule à un état bien défini avant la mesure.

Son état est vibratoire.
Le fait de vibrer lui procure des particularités bien singulières. Cela lui permet, entre autre, de « choisir » quel mode opératoire elle peut prendre lors d’interactions entre particules.
Son état n’étant pas défini mais oscillatoire, c’est juste lorsque que l’on a besoin de se positionner que la particule le fait.

Tout est conscience.
Tout est conscience même si cela Nous rends perplexe.
La complexité interne d’une particule lui permet de « tout savoir » de « tout voir » et d’anticiper chaque mouvement avant qu’il soit défini.

Tout n’est qu’incertitude et vibrations.
C’est vous, c’est nous, qui faisons bouger ce Tout.

En fait l’univers est une sorte de grande pâte à modeler intelligible, que l’on peut modeler à notre grès. Ceci n’est guère de la science fiction, c’est juste la réalité.

Une particule peut prendre plusieurs états, plusieurs dimensions et être en plusieurs lieux en même temps. Tout cela par extension de conscience. Duplication parfaite si l’on peut dire. Le modèle se retrouve en des lieux et en des positions tellement différentes et éloignées qu’il ne puis y avoir de doute sur la vacuité, tout ceci se passe à des vitesses dépassant largement celle de la lumière.

Le passage interne de ces dimensions se fait de façon instantané T=0.

Tout dans l’univers est relié.
Tout est en communication, si loin peuvent paraître les étoiles…
Elles sont en contact permanentes avec vous par le biais de vos structures internes, vous pouvez communiquer de façon directe !

La pensée est une vibration qui dépasse celle de la lumière.

Seulement la manifestation tangible et dense de la pensée ne peut encore être maîtrisé à notre échelle.
Pensez en un lieu que vous connaissez et vous y serez instantanément, il y aura une forme de duplication de vous-même, votre corps dense restera à sa place et votre esprit sera à une autre, en même temps, de façon synchronisé.
Personne ne pourra mesurer si vous réussissez à laisser un certain nombre de particules, d’atomes ou même de molécules dans ce lieu…

Mais en tout cas votre conscience, donc votre capacité vibratoire sera dans ce lieu. Il y aura synchronicité.
Sachons mesurer le dépôt de particules que nous pouvons laisser dans deux endroits en même temps et nous comprendrons alors ce don d’ambigüité qu’on les particules.

L’Univers n’est qu’une pâte à modelé géante et intelligible, à nous de l’utiliser pour créer.



V COMPOSITION PARTICULE



Une particule vibre.
Sa multi-complexité lui confère énormément de caractéristiques, en réalité quasi l’infini, tout étant relié en chaque point dans la création.

Rien à l’échelle microscopique peut-être séparé.
Seule l’échelle macroscopique peut donner cette vision.

Chaque corps macroscopique étant formé de microscopiques particules ayant ce potentiel de connexion interne à n’importe quel environnement permet donc de ce fait la connexion de chaque grand corps à tout son environnement.
Seulement la complexité et la multitude de ces petits corps ne permet pas une cohérence parfaite.
Cependant le potentiel existe en chacun de nous et en chacun de ces corps.

Plus le corps est dense plus dur sera la symbiose et la synchronicité de ce phénomène. C’est pour cela qu’il ne peut être observé à l’échelle macroscopique les merveilleuses prouesses du microscopique.
Il faut un chef d’orchestre avisé pour coordonnée le tout.
Ce qui ne veut pas dire que cela est impossible car chaque potentiel microscopique est interne au macroscopique.
Seule la coordination manque.

Si l’on parle tout simplement de psychisme (terme que nos scientifiques n’aiment pas) il y a un potentiel colossal en chacun de nous et en chaque espèce de part sa structure interne.
Seule l’utilisation et la pratique manque.

Rien n’est impossible.
Rien n’est improuvable.
Tout se peut et se permet d’être.




VI PARE FEU PARTICULAIRE



La masse des particules n’existe pas, c’est la rotation des hémisphères qui fait que la masse existe. (voir chapitre ce référent à la masse des particules: masse illusion)
Chaque rotation est déterminée par une fréquence, et c’est cette fréquence qui détermine « la valeur » d’une particule, qui lui donne une propriété.

On peut aisément changer la valeur d’une particule (poids, charge, etc.…) en changeant sa fréquence.
Il faut juste avoir accès à cette banque de données précise.

Il n’est pas facile pour nous de comprendre ce fonctionnement, j’en conviens tout à fait ; pourtant c’est ainsi que fonctionne et qu’est régit l’univers.

Il y a une possibilité d’isolé une valeur particulaire pour ne pas qu’elle interagisse avec les vibrations environnantes qui pourraient modifier son état interne.

Il existe aussi un facteur que l’on peut utilisé pour contre balancer la force (pression) exercé par toute accélération sur une particule. Cette force G pour nous sur Terre.
Ce facteur de protection ou de cloisonnement est induit par un puissant champ magnétique circulaire qui « isole » spontanément l’action de cette pression au cœur même de la structure accueillant ce champ.


La force G s’exercerait à la périphérie de la sphère empêchant ainsi le facteur m d’augmenter sous la pression exercée sur v.

En induisant un puissant courant magnétique à une structure parfaitement circulaire, le champ magnétique « repoussera » à ses limites la pression qu’exercerait normalement la force G sur la structure particulaire, ainsi la masse m (induite par la rotation des hémisphères) ne sera pas (ou très peu) perturbée.

Il sera ainsi possible d’atteindre des vitesses colossales que normalement un corps physique, de chairs et de sang, ne pourra pas supporter en tant que pression.

Une pression quasi infinie peut être exercée sur la sphère, la masse m ne s’en verra que peu changer.

Tout part de la base de cette bi-rotation qu’il se tarde à découvrir par nos chercheurs…

Tout reste encore à être découvert.
Passons le pas et ce sera fait, de nombreuses technologies peuvent découler de cette découverte et des ouvertures de conscience également.




VII DIEU PARTICULE




J’aimerais revenir sur un point tout particulier : la constitution particulaire.
Nos corps sont formés d’organes qui sont formés de molécules qui sont formées d’atomes qui sont formés de particules…

Comment croyez-vous que votre corps fonctionne s’il n’y avait pas de conscience particulaire ?
La base étant la particule.
Une molécule n’a pas de cerveau. Cela ne veut pas dire qu’elle n’a pas de conscience, vu qu’elle est l’amalgame de toutes ces particules qui regroupent la conscience collective : Dieu.
Cette conscience (Dieu) est interne à toutes structures.

Donc comment une molécule saurait son rôle et son devoir (sa tâche à accomplir) au sein de l’organisme, sans conscience ?...

Comment toutes les sphères micro-organiques s’organisent-elles (et quelle organisation !) sans chef d’orchestre ?

Il n’y a pas de mystère ou de magie, chaque être, chaque molécule, chaque particule a une conscience interne.
(Je rappelle que conscience ne veut pas dire mental, capacité à raisonner, mais juste capacité à concevoir son existence si grégaire soit-elle.)
Donc en partant sur cette base de conscience intra-particulaire, au cœur de la particule, nous arrivons au schéma déjà transmis.
Les 6 dimensions intrinsèques à chaque particule permettent à chacune d’elle de communiquer avec son environnement proche ou lointain, le Tout : Dieu.

En partant de ce principe, Dieu (je sais que l'on n’aime pas ce terme dans le domaine scientifique, mais il faudra nous y faire.) est omniscience et omniscient.

Que ce soit en chacun de nous, de notre environnement, du monde… qu’il soit microscopique ou macroscopique, Dieu (l’intelligence créatrice) est présente en chaque particule.

Il n’y a point de mystère.
C’est ainsi, simplement.
Tout est relié et en communication permanente.
Rien ne peut réellement être dissocié.

En partant sur cette base, le respect pour la création peut enfin prendre toute son envergure dans nos consciences.

Olivia Boa.